Wednesday, September 23, 2009

Cessons de les presser!

Aujourd'hui, semble-t-il qu'il n'y a plus d'enfants? Il est devenu de plus en plus difficile d'être enfant! L'enfance qui doit être un temps rempli du bonheur parfait, est un vrai cauchemar. On voit que les enfants d'ajourd'hui sont tourmentés, distraits et hyperactifs. Faut-il éduquer les parents pour mieux éduquer les enfants? Nous débuterons cette argumentation en parlant de ce qui se passe chez les enfants et puis des mesures que les parents pourraient prendre pour enrayer la situation.

Il est indéniable que «...les enfants turbulents sont le reflet du monde dans lequel ils grandissent et des relations qu'ils entretiennent avec leurs proches...». Ils sont bombardés d'images: d'un côté de la société de consommation et de l'autre côté-de la pauvreté. Des attentes de leurs parents leurs assaillent et si on ajoute l'influence des pairs, il fait sorte que les enfants ne'en peuvent plus! Aux Etats-Unis, un enfant sur dix est qualifié hyperactif et traité sur des amphétamines. Peut-être cette approche biologique n'attaquera le mal à la racine et il vaut mieux d'agir sur l'environnment familiale.

L'éducation d'un enfant commence à la maison et ses parents sont des premiers profs. Les enfants apprennent en les imitant. Les parents doivent être des bons exemples et adopter la zen attitude. On vit dans un temps pleine d'insécurités, pourtant, trouver l'équilibre et de le transmettre aux enfants est la résponsabilité des parents.
Il est recommandé par des médcins et des psychoanalystes que les parents passent plus de temps avec ses enfants. Surtout à la maison, les parents doivent garder l'enfant en priorité . Le portable, l'ordinateur, la télé, le travail-il faut éviter tout cela. Les enfants doivent ressentir qu'ils sont importants et chéris. Certes, des attentes des parents pesent lourds. On pourrait dire que pour des enfants c'est «le fardeau de l'éxistence». Il faut aller lentement et laisser l'enfant découvrir la silence et le monde du soi-même.

Les parents tiennent un rôle très important pour les enfants. Des valeurs, la comportement, la pensée...presque tout cela viennent au début, d'eux. Si on veut rendent les enfants plus heurex et à l'aise, il faut agir fortement sur l'environnment familiale.

Monday, September 21, 2009

Le travail à domicile

Aujourd'hui plusiers ont rejetés la routine «métro-boulot-dodo». Une nouvelle tendance qu'on voit chez les employés est le travail à domicile. En ne quittant pas le travail, mais en changeant l'endroit où travailler...Les entreprises aussi incitent les employés à travailler dans cette façon. Pourrait-on affirme que le travail à domicile est aussi bénéfique pour les employés que pour les entreprises? Nous commencerons cette argumentation par parler comment les deux groupes en profitent.

Etant donné la pression de la recession, les entreprises cherchent à économiser. Le travail à domicile leurs permettent de conserver de l'argent parce que les coûts fixes réduisent. Par exemple, ils dépensent moins pour le loyer du bureau, les mobiliers, le frais d'éléctricité et d'autres coûts du capital.
La fléxibilité du travail augmente la qualité du travail chez les employés. Au bureau, l'hierarchie professionelle existe toujours mais elle est moins visible–l'éspace est consacré en fonction de la présence du personnel et non plus de la position hiérarchique.

Quant aux employés, ce nouvel façon de travailler augmente la salaire. Ils font des économies sur l'essence, les repas au restaurants, les clubs de gym, le pressing de vêtements et presque tout les coûts du bureau. Si on ajoute les «carottes»: le Blackberry tout neuf, l'acces à l'internet haut débit, du mobilier du bureau, l'assistance immobilier et aussi le sentiment qu'ils soient écorésponsables–tout cela les rendent plus heureux.
La santé d'employés est améliorée puis que ils ont le temps libre pour prendre soin d'eux même, faire d'exercice, des loisirs, etcetera. Certainemment, la qualité du travail est augmentée parce que il y a moins d'intérruptions et aussi grâce à la synergie du travail en communauté.

Nous pouvons dire que travailler à domicile est une façon d'agir contre la recession et pour la stabilité economique. L'entreprise et l'employé–les deux en profitent. En revanche, on doit se rendent compte que la vie personelle et familiale souffrent. En travaillant à la maison il est difficile de tirer la ligne entre la vie professionelle et personelle/familiale. Donc, pourrait-on réussir à faire une balance entre les deux?

Saturday, September 19, 2009

La violence à l'école

Au jourd'hui les actualités revient plusiers fois à la violence à l'école. Nous ne pouvons pas ignorer les chiffres inquietants qui montent chaque année. Pourrait-on affirmer que la violence à l'école, elle est née non seulement de la rue mais aussi du système éducatif? Nous commençons notre argumentation en parlant de racines de la violence pour montrer comment elles s'enchaînent.

Quel qu'un a dit que la violence de la rue est descendue à l'école. A part des petits incidents de «school-bullying», nous sommes frappés par les histoires de règlements de comptes. Le monde d'école est un microcosme du monde réel ou externe. Les jeunes disent qu'il faut se faire respecter. La force est devenue très importante chez eux.
On se rappele de la jeune fille de 16 ans, Elodie, quii était torturée par 5 de ses camarades de son foyer. Elle était rouée de coups, presque étranglée avec un fil éléctrique, puis ses bras et sa front était tailladée avec des lames de rasoir et de ciseaux. Ensuite, ses plaies était versés du parfum, du deodorant et de la mousse à raseur en l'obligeant à garder des yeux ouvertes.
On s'éloigne de cet incident en l'appellant la violence raciste. Le cas d'Elodie est souvent cité comme exemple aux étudiants par des profs qui ne comprennent pas la compléxité inhérente.

Il est très facile de parler de «quartiers défavorisés» et de «zones sensibles». La carte scolaire reussit a faire une ségrégation étonnante. Les jeunes qui habitent dans les quartiers défavorisés ne peuvent pas en profiter ni des meilleures écoles ni des bons profs. Le sytème éducatif faire sorte que les bons profs enseignant aux écoles sensibles sont mutés très tôt dans leurs carrières aux meilleures écoles (dans des meilleures quartiers) pour qu'ils ne soient pas «gaspillés»!
Déjà on voit que les profs en début de leurs carrières, ayant pas assez d'éxpérience, sont placés dans les écoles sensibles. Si on ajoute la ségrégation d'élèves autour leurs capacités académique et l'inégalité de règles, l'un et l'autre pour les profs et les élèves–on voit très clairement que les principes de liberté, fraternité et égalité sont un mythe.

La violence à l'école est produite par les conditions sociaux bien sûr, mais en plus le système éducatif et aussi- l'indifférence de la gouvernement: à l'égard ces jeunes. Sans doute c'est un cercle vicieux. Pourrait-on réfléchir d'où commencer à l'enrayer?

Sunday, September 13, 2009

Pourrait-on vraiment trouver un solution durable afin de surmonter le problème de sous-alimentation?

Nous sommes bien dans le 21eme siècle...la science et le technologie ont fait beaucoup de progrès. Mais dans ce climat de développment, ce qui nous fait penser, c'est le fait qu'en 2009, le nombre de personnes qui souffrent de la faim dépassent un miliard(d'après le FAO). Les sous-alimentés se trouve en Asie(640 millions), un quart en Afrique subsaharienne et le reste se distribue dans les autres régions du monde.
On se demande si la grande population est le seul raison pour ce fait honteux? Non, pas seulement. Il y a des causes structurelles- les guerres civiles, conflits entre pays, désorganisation des systèmes agricoles et des infrastructures d'approvisionnment. En ajoutant tout cela au problème de population et les conséquences de la récession mondial...tout cela pose un vrai problème.
D'autres problèmes sont cachés...comme en Inde on voit le déscolarisation d'enfants. Les familles pauvres qui inclut déjà 4 ou 5 enfants, préfèrent faire les travailler pour qu'ils puissent avoir à manger! Comme ça ils n'étudient pas et ils restent toujours défavorés.
Barack Obama a dit «Ce n'est qu'en investissant dans l'agriculture du tiers-monde qu'on garantira la paix et la sécurité de la planète» Edouard Saouma le directeur général de la FAO insiste «oui nous pouvons vaincre le faim» et il parle d'une idée d'une «gouvernance mondiale»
A mon avis c'est importante que les pays riches aident les pays qui sont menacés par le sous- alimentation. Pourtant ils auront leur propre difficultés a gérer. Et c'est une solution qui ne peut pas durer longtemps. On ne peut pas compter seulement sur les soutiens externelle. Une solution plus durable c'est que les gouvernements de ces pays pourraient agir inteligemment, en aidant les vrais gens affectés. Ils peuvent faire moderniser les systèmes agricoles, réglementer des prix etc.
Clairement, les affamés du monde compte sur les bonnes volontés des riches!

Pourrait-on empêcher la diffusion du SIDA en mieux informant les jeunes?

Pendant les dernières 30 ans, même si nous avons lutté contre le SIDA, il n'y a pas un vaccin pour l'éviter, ni un remède pour le guérir. Au jour d'hui, c'est les jeunes qui courent beaucoup de risque d'attraper ce maladie. Souvent, ils ne sont pas bien informés ou ils se confondent. Autrement, ils ne se rendent compte à la gravité de la situation.
Parler du SIDA, c'est une domaine d'intime. Il y a assez peu d'infos disponible aux jeunes et on a besoin des bonnes pratiques pédagogiques. Le méssage classique est bien entendu «mettez un préservatif». C'est une génération qui le connait mais qui ne le mettent pas. Ils veulent s'approprier leur corps et vivre leur vie. Tout ce qui est d'institution- l'école, les parents, le gouvernement...ils n'en veulent pas.
On pourrait empêcher la diffusion du SIDA chez les jeunes toute simplement en les mieux informant. On doit les sensibiliser: comment le sida ce transmet, les précautions, le dépistage, comment se protéger etc. Des projets interdisciplinaire aux écoles, des associations et intervenants chez des jeunes et des autres méthodes pédagogiques peuvent faire beaucoup pour enrayer le diffusion de SIDA chez les jeunes.
Si les jeunes prennent des risques, ça doit être au moins en les connaissant. Et bien sûr, «Savoir, c'est Pouvoir»

Saturday, September 12, 2009

L'internet: peut-il tuer la presse?

Nous sommes, en 2009, à l'âge du virtuel. On peut savoir tout en cliquant. L'invention d'ordinateur et le développment de l'internet a ouvert de possibilités nombreuses. Au jour d'hui, ce n'est plus seulement dans les livres, des encyclopédies et des journaux qu'on trouve les réponses à nos questions. Sur l'internet, un chercheur d'infos peut poser n'importe quelle question- de comment bouilir un oeuf à qui a assassiné Mahatma Gandhi!
Alors, que passe-t-il au monde de la presse? D'apres Bruno Patino, c'est une crise. Il y a des «fragmentation des usages... et la polarisation». Un lecteur se sert a multiple sources d'infos, pour mieux s'informer. Il n'est plus fidèle et en plus, il lit beaucoup moins qu'avant. L'expansion, la régularité et la prévisibilité de la presse sont menacées. Il y a une véritable crise de l'infos. Il existe une grande concurrence entre la presse écrite et virtuel.
Malgré l'explosion du Web autour le monde, c'est vrai que il ya une grande partie du monde qui n'est pas couverte par le Web. Des pays d'Afrique du sud... même en Inde, c'est seulement dans les grandes villes que l'internet est devenu si important. Il y a des gens partout dans le monde qui préfèrent s'informer en lisant des journaux qu'en utilisant l'ecran.
A mon avis, dans une maniere, l'internet a déjà tué la presse...la presse d'antan, comme on la connaissait. Mais, c'est une sorte de renaissance- On voit qu'avec chaque étape d'évolution, il y a des changements, de progrès, des mutations.
La presse écrite, encore vivante, est obligée d'évoluer, d'innover, de faire des démarches pour rester au marche!

Thursday, September 10, 2009

Moi

Bonjour a tous! Enfin je suis l¡££. D'accord, c'est clair que les accents ne marche pas chez mon ordi... alors excuse-moi, je vais les utiliser la prochaine fois.
Enfin, je suis la, la 13eme personne :)
Je m'appelle Arunima. J'ai 30 ans. Je travaille dans le domaine du cinema. Je fais le montage- des documetraires, longue-metrages et des courts aussi. Ca fait deux ans que je vis a Bombay. Je suis d'origine du kerala, j'ai grandi a delhi et je fais les dernieres 4 ans de mes etudes a pune.
J'etudie le francais depuis 2005 et cela me donne beaucoup de plaisir.
Et voila!