Saturday, September 19, 2009

La violence à l'école

Au jourd'hui les actualités revient plusiers fois à la violence à l'école. Nous ne pouvons pas ignorer les chiffres inquietants qui montent chaque année. Pourrait-on affirmer que la violence à l'école, elle est née non seulement de la rue mais aussi du système éducatif? Nous commençons notre argumentation en parlant de racines de la violence pour montrer comment elles s'enchaînent.

Quel qu'un a dit que la violence de la rue est descendue à l'école. A part des petits incidents de «school-bullying», nous sommes frappés par les histoires de règlements de comptes. Le monde d'école est un microcosme du monde réel ou externe. Les jeunes disent qu'il faut se faire respecter. La force est devenue très importante chez eux.
On se rappele de la jeune fille de 16 ans, Elodie, quii était torturée par 5 de ses camarades de son foyer. Elle était rouée de coups, presque étranglée avec un fil éléctrique, puis ses bras et sa front était tailladée avec des lames de rasoir et de ciseaux. Ensuite, ses plaies était versés du parfum, du deodorant et de la mousse à raseur en l'obligeant à garder des yeux ouvertes.
On s'éloigne de cet incident en l'appellant la violence raciste. Le cas d'Elodie est souvent cité comme exemple aux étudiants par des profs qui ne comprennent pas la compléxité inhérente.

Il est très facile de parler de «quartiers défavorisés» et de «zones sensibles». La carte scolaire reussit a faire une ségrégation étonnante. Les jeunes qui habitent dans les quartiers défavorisés ne peuvent pas en profiter ni des meilleures écoles ni des bons profs. Le sytème éducatif faire sorte que les bons profs enseignant aux écoles sensibles sont mutés très tôt dans leurs carrières aux meilleures écoles (dans des meilleures quartiers) pour qu'ils ne soient pas «gaspillés»!
Déjà on voit que les profs en début de leurs carrières, ayant pas assez d'éxpérience, sont placés dans les écoles sensibles. Si on ajoute la ségrégation d'élèves autour leurs capacités académique et l'inégalité de règles, l'un et l'autre pour les profs et les élèves–on voit très clairement que les principes de liberté, fraternité et égalité sont un mythe.

La violence à l'école est produite par les conditions sociaux bien sûr, mais en plus le système éducatif et aussi- l'indifférence de la gouvernement: à l'égard ces jeunes. Sans doute c'est un cercle vicieux. Pourrait-on réfléchir d'où commencer à l'enrayer?

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